mercredi 8 juin 2016

Dernière rencontre de la journée - Marc Charabati et Elizabeth Gowing

La journée s'est bien terminée par une rencontre informelle avec Marc Charabati, candidat au doctorat en neuroscience, et Elizabeth Gowing, étudiante au doctorat (tous deux au Laboratoire du Dr Prat).

Elizabeth était la présidente du comité des étudiants responsable de la programmation du Symposium et Marc était l'un des organisateurs des conférences. Selon eux, il y a beaucoup à apprendre sur les interactions entre le système immunitaire et le système nerveux central. Ce genre d'événement regroupe des chercheurs qui travaillent sur différentes maladies. Ces rencontres favorisent la collaboration et permettent d'avoir des points de vue de collègues sur son propre travail. Tous les résultats des études sur des maladies neurologiques peuvent être importants pour nos propres travaux de recherche sur la SP. La synergie est très importante, les scientifiques ne travaillent pas tout seul dans leur labo. Selon Marc, il est impossible de faire ce type de travail tout seul. La plupart du temps, on retrouve des équipes de cinq personnes qui travaillent sur le même projet.

Elizabeth et Marc ont adoré les deux présentateurs principaux (Dre Staci Bilbo, Duke University et Barry McColl, PhD, University of Edinburg). Ils sont très jeunes, ils sont en début de carrière et ils sont brillants. Nous avons discuté avec eux et ils ont donné de bons conseils. Ce symposium est pour et par les jeunes chercheurs pour les amener plus loin.

La collaboration pour accélérer le rythme des découvertes!

Il y a une collaboration exceptionnelle entre les chercheurs et les cliniciens et entre les centres de recherche au Québec. C'est la clé pour accélérer le rythme des découvertes. Cette proximité accélère le passage de la recherche fondamentale vers les essais cliniques. Dans d'autres pays, les centres de recherche sont souvent éloignés les uns des autres, tant au sens propre que figuré.

Marc et Elizabeth ont très hâte de voir les découvertes en lien avec les formes progressives, ils s'attendent à ce que ce soit exponentiel. La SP est une maladie hétérogène, mais les connaissances s'accumulent. Il est maintenant plus clair que le système immunitaire joue un grand rôle également dans les formes progressives.

Marc mentionne qu'il aime parler de ses travaux avec les personnes qui ont la SP. De son côté, Elizabeth est très motivée à faire avancer les choses car sa mère à la SP. Elle comprend la réalité des personnes aux prises avec cette maladie.



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