Julia
Nantes nous a présenté ses travaux qui portent sur le cerveau des personnes
vivant avec la SP. Elle utilise différentes technologies d’imagerie afin de
quantifier la présence de neurotransmetteurs (molécules servant à la
communication entre les neurones) dans les lésions. En comparant avec des
cerveaux de personnes qui n'ont pas la SP, elle a montré que les niveaux de neurotransmetteurs étaient altérés aux endroits où il y avait moins de myéline. Cette altération en neurotransmetteurs pourrait
être une cause spécifique des symptômes cliniques de la SP.
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